vendredi 30 octobre 2009

Virtualisation : VMware Workstation 7 met l’accent sur Windows 7

VMware Workstation 7 est une offre 100 % compatible avec Windows 7 et particulièrement bien adaptée aux besoins des développeurs

VMware vient de lancer une nouvelle version de son outil de virtualisation pour Windows et Linux. VMware Workstation 7 se veut totalement compatible avec Windows 7, qu’il soit utilisé en tant que système hôte ou virtualisé. VMware Workstation 7 améliore ainsi son support de la 3D accélérée, avec l’intégration de DirectX 9.0c, des Shader Model 3 et de l’OpenGL 2.1. Ceci permettra, par exemple, de disposer d’un support d’Aero au sein des machines virtuelles fonctionnant sous Windows Vista et Windows 7. La compagnie a également mis l’accent sur le support de Windows 7 en tant que système d’exploitation hôte : compatibilité avec les versions 32 bits et 64 bits de l’OS, gestion du Flip 3D et d’Aero Peek.

Chaque machine virtuelle pourra disposer d’un maximum de quatre processeurs et de 32 Go de mémoire vive. De plus, les données pourront être chiffrées en AES 256 bits et la reconnaissance des imprimantes ne nécessitera pas l’installation de pilotes spécifiques au sein de l’OS virtualisé.

Le seul véritable écueil réside dans le coût de ce logiciel : 153,14 euros pour la licence complète et 80,22 euros dans le cadre d’une mise à jour. Et seuls ceux qui ont acheté VMware Workstation 6.5 depuis le début de ce mois pourront bénéficier d’une mise à jour gratuite. L’éditeur justifie le prix élevé de ce produit par son excellente intégration au sein des outils de programmation. Il convient d’admettre que le couple Visual Studio et VMware Workstation fait des étincelles. Consciente de son avantage, la compagnie ajoute maintenant le support de nouveaux environnements de développement : SpringSource Tools Suite et Eclipse IDE for C/C++.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/29/virtualisation___vmware_workstation_7_met_l_accent_sur_windows_7

jeudi 29 octobre 2009

Les étudiants préfèrent travailler chez Google

Google est l'entreprise où il ferait bon travailler pour les étudiants en filières commerce et école d’ingénieurs, selon une étude puisant dans des universités de 11 pays.
La première firme française, L’Oréal, arrive loin derrière

Le capital sympathie de certaines sociétés ou groupes vit de belles heures. Pour preuve la bonne image de Google qui arrive en tête d’un classement établi par le cabinet Universum auprès de 120.000 étudiants de 11 pays. Réalisée en Chine, Allemagne, Etats-unis, Japon, mais aussi en France, Angleterre, Italie, Russie, Espagne, Canada et en Inde, l’étude a classé parmi 800 entreprises les envies des étudiants en université en filière commerce ou en école d’ingénieur.

A la loupe, 49 sociétés composent le classement. Figurent en bonne place Microsoft et IBM qui complètent respectivement le podium. Suivent BMW et Intel, General Electrics et Sony, puis des banques comme JP Morgan, des pétroliers comme Shell et Esso/ExxonMobil, les géants de l'agroalimentaire Coca Cola et Nestlé.

Côté français, le bilan est maigre puisque les seules entreprises françaises présentes au palmarès sont L'Oréal (18e au classement) et Alcatel Lucent (43e). Le cabinet Universum commente ce classement en expliquant que les firmes choisies par les étudiants sont toutes de grosses multinationales avec « une solide assise économique et qui offrent des perspectives d'expatriation et de voyages d'affaires ».

Histoire d’image de marque donc. De son côté Google, arrive, avec peu d’efforts à attirer les talents grâce à un capital sympathie auprès des étudiants. La sympathie étant une chose, le droit du travail une autre, reste à confronter ses désirs à la réalité.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/28/les_etudiants_preferent_travailler_chez_google

mercredi 28 octobre 2009

Linux : la Mandriva 2010 sera disponible le 3 novembre

L’éditeur français Mandriva proposera sa nouvelle génération de distributions Linux dans une semaine.
Le compte à rebours est enclenché

Mandriva s’est fendu d’un communiqué de presse pour annoncer la sortie prochaine de la Mandriva Linux 2010. L’éditeur a choisi la date du 3 novembre pour sortir sa nouvelle gamme. Cette période est particulièrement chargée puisque de nouvelles moutures des Ubuntu (29 octobre), openSUSE (12 novembre) et Fedora (17 novembre) verront également le jour. Trois éditions seront disponibles : la Mandriva One (un Live-CD permettant le test ou l’installation), la Mandriva Free (une version 100 % open source) et la Mandriva Powerpack, une offre commerciale disponible en téléchargement (59 euros TTC) ou en version boite (69 euros TTC).

La Mandriva Linux 2010 apportera plusieurs nouvelles fonctionnalités, par exemple « Smart Desktop », une technologie qui permet de faciliter l’accès aux documents, via un système d’indexation… un procédé qui tend à se généraliser dans le monde Linux. C’est une première étape essentielle pour faire une réalité du concept – encore un peu flou – de bureau sémantique. Les paquets logiciels sont particulièrement à jour : noyau Linux 2.6.31, KDE 4.3.2, GNOME 2.28, Xfce 4.6.1, X.Org 1.6.3, etc. La distribution intègre également Moblin v2.0 et sera donc adaptée aux ultraportables économiques. Enfin, l’utilisation du GCC 4.4 permettra d’améliorer les performances générales du système.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/27/linux___la_mandriva_2010_sera_disponible_le_3_novembre

mardi 27 octobre 2009

Windows 7 : reboot à répétition sur certaines mises à jour

La mise à jour de Windows 7 tourne au vinaigre pour un petit nombre d'utilisateurs aux Etats-Unis. Microsoft enquête

Comme pour tout nouveau système d'exploitation, l'installation de Windows 7 rencontre son lot d'écueils. Pour un certain nombre de cas, la mise à jour du nouvel OS se solde par un échec. C'est en tout cas ce que font remonter les visiteurs du forum Microsoft Answer où le sujet « Windows 7 - Install Message - Upgrade Unsuccessful » n'a cessé d'alimenter la page depuis sa crééation le 23 octobre, lendemain de la sortie commerciale de Windows 7.

Les symptômes? Un reboot à répétition. « A la dernière étape de la mise à jour (transfert des fichiers, programmes, etc.), mon portable reboote et affiche un écran m'informant que la mise à jour n'a pas abouti et que mes fichiers systèmes précédents ne seront pas restauré, témoigne JSchneider21 en ouverture de la discussion. Mon laptop se trouve maintenant dans une situation de redémarrage permanent et essaie de restaurer les fichiers. » JSchneider21 tentait d'effectuer la mise à jour depuis Vista Premium 32 bit avec un Windows 7 de même acabit, non piraté assure-t-il et, qui plus est, sur une plate-forme matérielle qui avait passé positivement les tests de compatibilité.

Il n'est en tout cas pas le seul dans ce cas. Une vingtaine de personnes témoignent, toujours dans le fil de discussion consacré, de difficultés similaires. Mais aucun intervenant n'est en mesure d'apporter une réponse efficace. Pas même les ingénieurs de Microsoft entrés dans la discussion depuis hier, dimanche 25 octobre. Après avoir demandé de spécifier les caractéristiques de la machine hôte, la version exacte du système précédemment installé ou encore l'antivirus éventuellement installé, les ingénieurs de Microsoft recommandent de redémarrer la machine en mode sans échec. En vain, apparemment. Ils recommandent également, dans le cas des Windows 7 téléchargé à partir d'une image ISO, de graver le fichier image sur un DVD à la vitesse la plus lente du graveur pour éviter les risques de corruption de fichier. Le support de Microsoft tentera ensuite de conseiller individuellement les visiteurs du forum. Sans plus de succès, apparemment.

Le problème pourrait venir de River Digital, un distributeur en ligne qui propose notamment une version Etudiante de Windows 7. Microsoft invite d'ailleurs les utilisateurs à contacter le support de River Digital. Ce qu'a fait JSchneider21 qui s'est vu conseiller de graver un correctif envoyé par e-mail et le fichier « expandedSetup », et de recommencer l'opération de mise à jour depuis le début. Dommage qu'il ne fournisse pas dans le forum le résultat de cette nouvelle tentative.

Ashcake, pour sa part, pense que « la seule solution sera une installation propre de Windows 7 et la perte de la plupart des données sur l'ordinateur mis à jour ». Ce qui impliquera également la réinstallation des applications. D'où l'intérêt, même avec une simple mise à jour, de sauvegarder les données avant toute modification. De notre côté, la mise à jour de Windows 7 Ultimate (depuis un DVD original) sur un poste de travail sous Vista Home n'a posé aucun problème. Après quatre redémarrages de la machine et 1h45 environ d'insallation, la mise à jour nous a rendu notre système avec ses données et applications initiales. Et un Windows tout neuf.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/26/windows_7___reboot_a_repetition_sur_certaines_mises_a_jour

lundi 26 octobre 2009

Monty présentera MariaDB, l'alternative à MySQL, lors du 9e Forum PHP

Les 12 et 13 novembre 2009, la Cité des Sciences de La Villette ouvrira les bras au monde PHP.
Un événement proposé par l’Afup, en collaboration avec Lemug.fr

L’Association Française des Utilisateurs de PHP (Afup) organise la neuvième édition du Forum PHP, laquelle se déroulera les 12 et 13 novembre prochain à la Cité des Sciences de La Villette. Cet événement mettra l’accent sur le couple PHP/MySQL, avec la présence de Michael Widenius, le créateur de MySQL. Monty (son surnom) travaille aujourd’hui au développement d’une offre alternative, MariaDB, qu’il présentera lors du Forum PHP. Le PHP Forum est par ailleurs organisé en partenariat avec Le MySQL User Group (Lemug.fr). Une association logique pour deux technologies qui sont quasi indissociables.

Des acteurs de renom seront présents : Damien Seguy (Alter Way Consulting), créateur de Nexen.net, mais aussi un des fondateurs de l’Afup ; Johannes Schlüter (Sun Microsystems), responsable de la publication de PHP 5.3 ; et Fabien Potencier (Sensio Labs), créateur du framework PHP open source Symfony. Les femmes seront également à l’honneur, avec la présence d’Anna Filina (PHP Québec) et de Zoe Slattery (PHP Women), qui animeront respectivement des conférences portant sur l’analyse des comportements des développeurs et l’accroissement des phases de test au sein des projets open source.

En plus de la séance d’ouverture, 26 conférences seront organisées. Vous retrouverez le programme complet de ce rassemblement (ainsi qu’un formulaire d’inscription) sur cette page web.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/23/monty_presentera_mariadb__l_alternative_a_mysql__lors_du_9e_forum_php

vendredi 23 octobre 2009

Windows 7 souffre des mêmes tares que Windows Vista selon l’April

Fervent défenseur des logiciels libres, l’April dénonce les dangers de Windows 7, en reprenant les arguments de la FSF

Acteur français incontournable du monde des logiciels libres, l’April a tenu à s’exprimer suite à la sortie de Windows 7. Fort logiquement, l’association revient sur les dangers induits par le logiciel propriétaire.

L’April diffuse un PDF, qui reprend les sept raisons de ne pas adopter Windows 7 présentées par la Free Software Foundation. Ces arguments sont par ailleurs applicables à tous les systèmes d’exploitation propriétaires. « Avec Windows Seven, Microsoft tente de faire oublier le fiasco de Vista ; mais ce système d’exploitation souffre des mêmes tares que son prédécesseur, » explique Frédéric Couchet, délégué général de l’April. « L’absence d’interopérabilité, les failles de sécurité et le contrôle d’usage privé sont encore plus insupportables dans un monde interconnecté. »

L’April considère ainsi que le modèle propriétaire est contraire aux intérêts des utilisateurs, le logiciel devant être un élément accessible à tous et sans contraintes. L’association s’insurge également contre les formats fermés et la politique de Microsoft, qui « entrave l’interopérabilité entre les systèmes, assèche la concurrence et ralentit l’innovation ». Le communiqué de l’April revient enfin sur les systèmes de contrôle et de surveillance (DRM, Windows Genuine Advantage, etc.), la vente liée et les problèmes de sécurités découlant de l’opacité du code propriétaire. Un constat sévère, qui plaira aux aficionados du libre, mais laissera probablement la plupart des professionnels dubitatifs. « Seul le logiciel libre respecte les libertés et la vie privée des utilisateurs sur un marché ouvert et dynamique, » conclut Benoît Sibaud, président de l’April.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/22/windows_7_souffre_des_memes_tares_que_windows_vista_selon_l_april

jeudi 22 octobre 2009

Windows 7 en 7 chiffres clefs

Windows 7, le système d'exploitation de Microsoft, sera disponible à partir du jeudi 22 octobre, partout dans le monde

Retour sur le septième de Windows en sept chiffres clés.

3 millions : c'est le nombre de personnes qui ont testé la version test (bêta) de Windows 7, dont 150.000 en France

4 : c'est le nombre de versions de Windows 7 disponibles pour le grand public (Starter pour les netbooks, Familiale Premium pour les particuliers, Professionnelle et Intégrale pour les professionnels)

200 euros : c'est le prix officiel du boîtier d'installation de Windows 7 Familiale Premium en version complète

76.000 : c'est le nombre d'exemplaires de Windows à tarifs réduits pré-commandés en France à l'été 2009

16 Go : c'est la capacité minimale requise du disque dur pour installer Windows 7 (32 bits) sur son ordinateur (20 Go pour 64 bits)

10.000 : c'est le nombre d'entreprises qui ont signé pour avoir accès à des outils et à des ressources très utiles facilitant le passage à Windows 7

1 milliard : c'est, selon Microsoft, le nombre de personnes qui utilisent Windows dans le monde

Source : http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-windows-7-en-7-chiffres-clefs-2784.html

mercredi 21 octobre 2009

Développement Java : sortie de Spring 3.0

Spring est le framework phare du monde Java professionnel. La sortie de la mouture 3.0 est donc un événement pour les responsables du monde IT

SpringSource, une filiale de VMware, annonce aujourd’hui la disponibilité du framework Java open source Spring 3.0. Ce produit majeur est utilisé par plus de trois millions de développeurs de par le monde. Ni la page de téléchargement de SpringSource ni le blogue des développeurs ne font encore état de cette sortie. Ce produit a pourtant bel et bien été présenté lors du rassemblement SpringOne 2GX, qui se tient en ce moment même à la Nouvelle-Orléans (Louisiane). Un large ensemble de sessions se focalise sur cette technologie et ses applications pratiques.

Au menu de Spring 3.0, vous trouverez de nouvelles options de configuration, un support REST et l’intégration de l’Unified Expression Language, une technologie qui permet d’embarquer des expressions au sein des pages web (et qui fait maintenant partie de la spécification JSP 2.1). Spring 3.0 supporte également l’API Java Persistence 2.0 (JPA). « Spring 3.0 permet aux développeurs de créer encore plus facilement des applications flexibles et de haute qualité, tout en fournissant des fondations permettant d’apporter de l’innovation au sein des projets open source et des produits commerciaux tiers », déclare Rod Johnson, directeur général de la division SpringSource de VMware (mais aussi le créateur de Spring). « Spring 3.0, en association avec les environnements d’exécution SpringSource, y compris SpringSource tc Server, représente la plate-forme de développement Java d’entreprise la plus productive et la plus performante du marché. »

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/20/developpement_java___sortie_de_spring_3_0

mardi 20 octobre 2009

Alfresco gère au mieux les archives des entreprises

Le module Alfresco Record Management permet de gérer l’archivage des documents, en conformité avec la certification 5015.02 du ministère américain de la Défense

Alfresco vient de dévoiler une solution dédiée à la gestion et à la mise en conformité des archives des entreprises, du nom d’Alfresco Records Management. Cette solution open source décroche la certification 5015.02 du ministère américain de la défense, laquelle concerne la gestion des documents des entreprises et institutions. Une première pour le monde des logiciels libres.

« La norme érigée par le ministère américain de la Défense est devenue une référence pour les systèmes de gestion des archives électroniques, et l’obtention de cette certification prouve notre détermination à déployer une technologie économique pertinente, qui aidera les entreprises et les institutions à préserver leurs archives dans le strict respect des obligations juridiques », précise John Newton, CTO d’Alfresco Software.

Alfresco Records Management reprend les avantages des autres outils de l’éditeur : un référentiel unique et simple d’usage, piloté par une interface web conviviale et proposant un archivage aisé des e-mails (grâce au support IMAP intégré). L’archivage est – fort logiquement – un des points forts de cette solution : gestion des cycles de vie d’archivage, administration des archives stratégiques, possibilité de créer une archive pérenne, outils de recherche évolués, etc.

Alfresco Records Management est disponible sous la forme d’un module intégré à la dernière version d’Alfresco Community Edition. Il est livré avec l'application, ou sous la forme d’un paquetage dédié.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/19/alfresco_gere_au_mieux_les_archives_des_entreprises

lundi 19 octobre 2009

eCopy tombe dans le giron de Nuance

Beau temps pour les consolidations, dans les secteurs de la gestion du document, alliances, concentrations et absorptions se succèdent à vitesse grand V

Le rachat d’eCopy par Nuance illustre l’importance des opportunités saisies, qu’elles s’inscrivent dans une recherche de croissance planifiée ou qu’elles soient la conséquence d’une économie fébrile.

Nul doute pour Nuance que cette opération était prévue de longue date : il faut savoir que cette entreprise américaine s’appelait avant ScanSoft, société elle-même passée successivement entre les mains de Xerox et de Visioneer. Une véritable saga dont on ne sert ici qu’un rapide raccourci, mais qui a enrichi le catalogue de Nuance de quelques best sellers comme le logiciel d’OCR Omnipage ou l’application de reconnaissance vocale Dragon.

L’absorbation d’eCopy, une opération dont la transaction prévoit la cession à eCopy d’actions ordinaires de Nuance pour un montant net de près de 54 millions de dollars, élargit le portefeuille de Nuance à la capture de document et, surtout, lui ouvre les portes de la dématérialisation associée aux multifonctions : la solution ShareScan d’eCopy, une application de distribution des documents dans un environnement de travail collaboratif, est déjà proposée sur les périphériques de nombreux constructeurs de MFP. Quelques ajustements seront tout de même nécessaires dans les gammes des deux éditeurs. Par exemple, un logiciel comme Paperworks d’eCopy risque de faire doublon avec PDF Converter de Nuance.

Au delà d’inévitables refontes de catalogues, Nuance accède à un réseau de distribution plus dense et des possibilités de partenariats plus riches, peut-être aux dépens de ses deux principaux concurrents Abby et Iris.

Source : http://www.zdnet.fr/blogs/doc-print/ecopy-tombe-dans-le-giron-de-nuance-39709435.htm

Kaspersky livre sa première solution de sécurité pour Mac

L’éditeur russe lance sa solution de sécurité pour l’environnement Mac. Compatible avec Mac OS X 10.4.11 et au delà, il compte séduire un marché restreint

Kaspersky vient de dévoiler la version Mac OS de son antivirus phare. Utilisant le moteur de Kaspersky Lab, l’éditeur tente de se servir de son expérience sur l’environnement Windows hétérogène pour renforcer la sécurité des postes Apple. Selon l’éditeur, l’antivirus va au-delà de la simple protection contre les virus, les vers et les chevaux de Troie sur Mac OS mais filtre et est capable d’analyser les menaces portant sur les systèmes d’exploitation Windows et Linux, en empêchant l’utilisation des Mac comme « porte d’entrée » de programmes malveillants sur un réseau d’entreprise hétérogène. Ainsi protégés, les Mac ne seraient plus, selon Kaspersky, le point faible des organisations.

A la loupe, la version Mac est dotée du même moteur que les solutions traditionnelles, à en croire Vartan Minasyan, responsable des produits Mac de l’éditeur « les Mac interagissent désormais avec de nombreux réseaux particuliers ou d’entreprises. Ceux non protégés s’apparentent à des passerelles ouvertes à travers lesquelles les programmes malicieux peuvent pénétrer n’importe quel ordinateur d’un réseau. En configuration entreprises, cela peut conduire à l’infection de dizaines de milliers de machines et à des pertes financières considérables ».

Kaspersky joue donc sur le fait que le Mac, bien que moins sujets aux attaques de part la moindre représentation du parc d’ordinateurs, peuvent être des cibles de choix pour attaquer une structure. Une sorte de porte d’entrée non-sécurisée en somme. De même, afin de lutter efficacement contre les menaces malveillantes, l’éditeur s’appuie sur les quelques 20 millions de programmes enregistrés et sur des bases de données antivirales pour Mac, Windows et Unix, mises à jour toutes les heures.

Enfin, côté interface, Kaspersky promet d’être proche de « l’univers Mac » avec un mode de fonctionnement automatique, qui limite les requêtes intempestives envers les utilisateurs mais aussi avec des données graphiques sur le statut de la protection. Dans les détails, l’édition Mac est compatible sur les versions de Mac OS à partir de la version 10.4.11 pour 39,95 euros. Un achat pour les inquiets ou ceux qui ne se sentent pas miraculeusement immunisés…

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/16/kaspersky_livre_sa_premiere_solution_de_securite_pour_mac

vendredi 16 octobre 2009

Mozilla vérifie la fraîcheur de vos plug-ins

Plugin Check permettra de contrôler si vos greffons sont à jour. Ce service est aujourd’hui disponible sur le web, mais sera intégré à la prochaine mouture de Firefox

Les plug-ins permettent aux navigateurs web d’accéder à de nouvelles technologies : Flash, Silverlight, lecture de fichiers multimédias, etc. Toutefois, ils peuvent être source de problèmes de stabilité ou de sécurité. Plus de 30 % des plantages de Firefox seraient dus à des plug-ins non mis à jour.

C’est dans ce contexte que Mozilla dévoile le service Plugin Check, qui se charge de vérifier si les greffons sont bien installés dans leur dernière version, et propose au besoin une mise à jour. L’idée est bonne, mais il est dommage que cette application web se limite à Firefox et ne puisse pas fonctionner avec des navigateurs tiers. De plus, trop peu d’extensions sont reconnues, un problème qui sera probablement corrigé ultérieurement. Dernier reproche, la page n’affiche par défaut que cinq greffons, un clic étant nécessaire pour afficher la liste complète. Un choix curieux.

Ceux qui se demandent pourquoi Mozilla a choisi de proposer cet outil sur le web, plutôt que de l’intégrer directement à ses navigateurs, seront rassurés : Firefox 3.6 intégrera cette fonctionnalité par défaut, ce qui automatisera totalement le processus de mise à jour des greffons. Voilà une idée simple, qui permettra d’améliorer nettement la sécurité des navigateurs. Espérons que les autres éditeurs s’empresseront de l’adopter. Les responsables de Mozilla annoncent que ce service pourra prochainement être utilisé à partir de navigateurs web concurrents. Une excellente nouvelle.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/15/mozilla_verifie_la_fraicheur_de_vos_plug_ins

jeudi 15 octobre 2009

Virtualisation : Parallels Desktop 5.0 pour Mac OS est en approche

Parallels Desktop 5.0 pour Mac tirera mieux partie de la puissance des dernières machines Apple et sera, enfin, pleinement compatible avec Windows Vista et 7

En réponse à VMware, qui promet une mise à jour gratuite vers Fusion 3 pour ceux qui achètent la mouture actuelle, Parallels fait de même avec le futur Parallels Desktop 5.0 pour Mac. Pour profiter de cette mise à jour, vous devrez présenter une preuve d’achat. La compagnie ne précise pas quand sera disponible la version 5.0 de son outil de virtualisation. Toutefois, l’offre de mise à niveau gratuite étant valable jusqu’au 31 décembre 2009, il est légitime de penser que la nouvelle mouture du logiciel sera – au plus tard – livrée à cette date.

Quelles sont les nouveautés attendues pour ce produit ? Vous y trouverez tout d’abord le support de DirectX 9 et d’Aero, et ce, aussi bien sous Windows Vista que Windows 7. Parallels Compressor permettra dorénavant de compacter automatiquement les disques virtuels. De plus, il sera possible d’exploiter les configurations multi-écrans. Voilà qui permettra à ce logiciel de se mettre au niveau de son concurrent. Mais ce n’est pas tout. L’éditeur annonce que le moteur de virtualisation de Parallels Desktop 5.0 pour Mac sera globalement plus performant que précédemment. De surcroit, le logiciel pourra assigner un maximum de huit processeurs ou cœurs à chaque machine virtuelle. Dans ce domaine, l’offre de Parallels dépasse celle de VMware, qui reste limitée à quatre processeurs par machine virtuelle.

Le logiciel sera aussi capable d’exploiter la technologie EPT (Extended Page Table) des puces Nehalem, avec à la clé une vitesse de traitement en hausse. Enfin, les performances de Linux en mode paravirtualisé seront améliorées.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/14/virtualisation___parallels_desktop_5_0_pour_mac_os_est_en_approche

mercredi 14 octobre 2009

Pour améliorer la sécurité, le CEA déploie progressivement Windows 7

Si Windows 7 ne sera disponible que le 22 octobre pour le grand public, les entreprises ont déjà commencé à tester et, le cas échéant, à déployer le nouveau système d'exploitation de Microsoft

A la différence de Vista, boudé par les entreprises, Seven semble bien parti pour conquérir progressivement les entreprises. Architecte IT au Commissariat à l'Energie Atomique, Jean Schmit nous a expliqué le programme de migration vers Seven mis en place au CEA. "Depuis 2007, nous n'avons pas installé de nouveau système d'exploitation. Sur les 18 000 postes de travail en service, 80% sont équipés de Windows 2000 et XP, les 20% restant se partagent entre MacOS et Linux en fonction des besoins spécifiques des utilisateurs". Pour moderniser son parc informatique, le CEA a donc lancé un appel d'offre remporté cette fois pas Lenovo. "En avril dernier, nous avons commencé à évaluer Windows 7. Il s'agissait encore de la version bêta qui s'était avérée très intéressante avec son ergonomie soignée et son moteur de recherche intégré. Nous avons donc lancé un appel au volontariat pour déployer 80 postes de travail équipés de Windows 7, de Windows XP et d'Office 2010".

80 postes sur un total de 18 000, c'est encore peu mais Jean Schmit précise que le programme va rapidement passer à 200 postes pour atteindre une masse critique. Quatre à cinq ans seront encore nécessaires pour remplacer une bonne partie des postes du CEA.

Migrer pour renforcer la sécurité

L'installation de ce nouveau système d'exploitation répond également à des questions de sécurité : "sous Windows XP, on arrive aux limites en terme de patchs de sécurité. Le passage à Windows 7 va nous permettre d'améliorer la sécurité de nos postes de travail les plus exposés. IE8 nous semble par exemple mieux protégé contre les tentatives d'intrusions ActiveX. De plus en plus de gens travaillent en dehors de l'entreprise et les technologies d'accès distant intégré à Windows 7 sont très intéressantes et offrent une meilleure sécurité par défaut".

Si le CEA utilise bien sûr des modes "terminal serveur" pour utiliser des environnements sécurisés ou un peu ancien, il n'est pas encore prévu de déployer des solutions de virtualisation sur les postes de travail. L'émulation de Windows XP dans Windows 7 est encore en cours d'évaluation avant d'envisager toute application. "Nos chercheurs ont toutefois une grande liberté pour installer et utiliser les logiciels de leur choix sur leurs PC".

Encore modeste, le programme de migration du CEA va progressivement grossir dans les prochains mois. Comme partout les contraintes budgétaires et la maitrise opérationnelle imposent un calendrier étendu. Le coût de migration de ces 80 postes a été évalué à 60 jours/homme.Beaucoup d'entreprises qui ont freiné le déploiement de Windows Vista envisagent plus sereinement le passage à Seven. Les pilotes 32 bits pour Windows 7 sont désormais disponibles pour la majorité des périphériques et des composants matériels; et pour cause, ce sont les mêmes que pour Windows Vista, signature numérique obligatoire en sus.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-pour-ameliorer-la-securite-le-cea-deploie-progressivement-windows-7-29267.html

mardi 13 octobre 2009

Twitter bientôt en français dans le texte

La plate-forme de micro blogging Twitter va élargir ses versions au français, allemand, italien et à l'espagnol

Twitter va bientôt être disponible en français. Au même titre que l'italien, l'allemand et l'espagnol. C'est du moins ce qu'annonce Biz Stone, le cofondateur du site de micro blogging, sur son dernier post. « Ces langues couramment désignées derrière l'acronyme FIGS [French, Italian, German, Spanish, ndlr] et souvent utilisés comme point de départ pour les services comme Twitter quand l'heure des localisation a sonné », souligne Biz Stone. Pour l'heure, Twitter n'est proposé qu'en anglais et japonais. « Plus tard, nous espérons offrir Twitter dans plusieurs autres langues », promet le porte-parole.

Aucune date de la disponibilité de Twitter en français n'est pour l'heure précisée. Et pour cause, les versions localisées de la plate-forme dépendront de la participation des utilisateurs que Twitter invite à contribuer. « Nous invitons un petit groupe de personnes à devenir traducteurs bénévoles au premier abord », propose Biz Stone. « Plus il y aura de volontaires et plus les suggestion de traduction s'accumuleront vite et nous disposerons d'assez de matériel pour rendre Twitter disponible en anglais et japonais mais aussi en français, italien, allemand et espagnol. »

Ces traducteurs volontaires pourront notamment s'appuyer sur un outil qui permet de proposer des suggestion de traduction et que Twitter a mis en ligne. Outil que nous n'avons cependant pas réussi à activer de notre côté. Dans tous les cas, la démarche de Twitter n'est pas très éloignée de celle de Facebook en son temps, mais aussi d'une manière générale pour nombre de projets open source, de s'appuyer sur les utilisateurs pour contribuer à la traduction de l'interface de l'application.

Cette volonté d'internationalisation de la plate-forme marque la détermination d'expansion de Twitter à la surface du globe, trois ans après sa création. Doté de version localisées, Twitter pourrait ainsi largement grossir sa base d'utilisateurs aujourd'hui annoncées de 50 millions de comptes environ. La récente levée de fonds et le développement du modèle économique devrait largement y contribuer.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/12/twitter_bientot_en_francais_dans_le_texte

lundi 12 octobre 2009

Microsoft dévoile les modes de distribution d’Office 2010

Office 2010 sera disponible «à la carte», en téléchargement et en version quasi gratuite.
De nouvelles options de distribution qui lèvent de nombreuses questions

Office 2010 devrait être disponible en version bêta vers la fin de l’année, avec une mouture définitive programmée pour le printemps 2010, soit en léger décalage par rapport à la sortie de Windows 7.

Microsoft vient de dévoiler les modes de distribution de cette nouvelle suite bureautique. Tout d’abord, les constructeurs pourront préinstaller ce logiciel sur leurs PC. L’achat d’une carte (disponible chez la plupart des revendeurs et distributeurs) permettra de déverrouiller Office en version Famille et Étudiant, Famille et Petite Entreprise ou Professionnelle. Ceci correspond peu ou prou à la méthode employée aujourd’hui pour les PC livrés avec Windows Vista. La méthode utilisée ici n’est toutefois pas sans défauts : la plupart des versions d’Office 2007 OEM ne sont plus distribuées sur média. L’installation par les constructeurs est donc obligatoire. Or, elle oblige ces derniers à acquérir un kit de préinstallation OEM, jugé trop coûteux par les petits intégrateurs, ce qui est préjudiciable aux ventes de cette suite bureautique. Microsoft ne précise pas si ce point sera amélioré.

Les utilisateurs pourront également essayer et acheter Office 2010 en ligne. La suite sera alors téléchargée sur leur machine. Elle sera utilisable environ deux minutes après le début de cette procédure, laquelle pourra prendre jusqu’à une heure. La compagnie ne donne guère plus de précisions, mais il est probable que ce mode de distribution laissera les revendeurs sur le bord du chemin.

Enfin, l’éditeur de Redmond souhaite proposer une version Starter d’Office 2010. Uniquement disponible sur de nouveaux PC, elle comprendra Word Starter 2010 et Excel Starter 2010, deux logiciels de base, qui resteront cependant compatibles avec les formats de fichiers OOXML et ODF. La mise à niveau vers une version complète d’Office 2010 sera possible en quelques clics. Office Starter 2010 se veut le remplaçant naturel de Works. Là encore, cette annonce soulève de multiples questions : cette mouture sera-t-elle aussi économique pour les constructeurs que Works (lequel est distribué en OEM pour une poignée d’euros) ? De plus, la compagnie ne va-t-elle pas s’attirer les foudres de la Commission européenne ? Une version trop économique d’Office, largement installée sur les PC des constructeurs, pourrait être jugée comme étant une tentative d’abus de position dominante.

Au final, ce lot d’annonces permettra de conforter le mouvement déjà initié avec Office 2007. Ces modes de distribution semblent assez bien adaptés aux besoins des grands constructeurs. Les intégrateurs sont toutefois les grands oubliés de ce programme, ce qui n’est peut-être pas volontaire de la part de Microsoft, l’intégrateur ‘de quartier’ étant une spécialité typiquement franco-française. Voilà qui pourrait donner – en France – un coup de pouce indirect aux parts de marché d’OpenOffice.org.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/09/microsoft_devoile_les_modes_de_distribution_d_office_2010

vendredi 9 octobre 2009

H1N1 : Google surveille désormais la progression de la grippe en France

Flu Trends, l'outils statistique de suivi de la grippe corrélé aux données sanitaires officielles, débarque en Europe

Quasiment un an après la version américaine, Google annonce aujourd'hui l'ouverture de Flu Trend en France, ainsi que dans une douzaine de pays en Europe. Google « Suivi de la grippe » en français, vise à « donner une idée du niveau de propagation de la grippe en quasi temps réel », explique Corrie Conrad, chef de projet chez Google.org (l'organisation de Mountain View qui tente de répondre aux défis de l'environnement en combinant informations et technologies).

Conçu comme un outil de surveillance, Suivi de la grippe s'appui sur les millions de requêtes effectuées par les internautes pour tracer les courbes d'évolution de l'épidémie. Pour tenter de donner une tendance la plus proche de la réalité, Google a conçu un algorithme qui détermine les mots clés saisis les plus pertinents. Comment? En filtrant les requêtes, notamment pour éliminer le bruit généré par la médiatisation de la pandémie, et en corrélant les résultats avec les données historiques officielles issues des autorités sanitaires. « Nous avons créé un modèle qui suit les données historiques de la grippe », résume Corrie Conrad.

Aux Etats-Unis, Google s'appuie sur les rapports du CDC (Center for Disease Control, l'équivalent américain du ministère de la Santé). Après bientôt un an d'expérimentation, Flu Trends propose des résultats corrélés, avec deux semaines d'avance environ, sur les résultats officiels. En France, l'entreprise de Moutain View a sélectionné le réseau Sentinelles. Emanation de l'Inserm, Sentinelles est une plate-forme de surveillance et de recherches basée sur un réseau de 1300 médecins généralistes qui remontent toutes les semaines leurs données sur la grippe (mais aussi sur la gastro-entérite, la varicelle et l'asthme). Ce qui permet un suivi national mais aussi régional. Du moins quand la corrélation entre les informations qui en sont issues et les résultats statistiques de Google a bien été validée. Ce qui n'est pas encore le cas pour la région Centre à l'heure de l'écriture de ces lignes. Pour chaque pays où le service est lancé, Google a ainsi sélectionné un organisme dont les données issues de la surveillance de l'épidémie de grippe sert de mètre étalon.

Flu Trends est-il un outil fiable pour autant? « La corrélation est très bonne sur la grippe », affirme un porte-parole de Sentinelles même s'il reconnaît que cela « reflète parfois plus un intérêt du public que la réalité de la santé publique ». Et de montrer les pics de courbes qui se sont dressés en 2005 en pleine vague de grippe aviaire alors que le nombre de victimes était insignifiant (statistiquement parlant). A noter également que Google Suivi de la grippe « ne distingue pas la grippe saisonnière de la pandémie », précise Corrie Conrad.

Suivi de la grippe se rapproche donc de Insight for Search qui permet de mesurer la popularité d'une thématique dans le temps mais sans corrélation avec des données historiques. En d'autres termes, « Google Flu est un outil complémentaire aux observations officielles pour les autorités comme pour le grand public », conclut Corrie Conrad. Selon les premiers résultats de Suivi de la grippe, on observe, en France, une recrudescence de la grippe plus élevée que l'année précédente sur la même période. Une tendance que confirme l'Institut de veille sanitaire : « Début septembre, les symptômes grippaux ont beaucoup augmenté mais le nombre d'hospitalisations est resté stable. » Flu Trends est désormais proposé dans une vingtaine de pays dans le monde.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/08/h1n1___google_surveille_desormais_la_progression_de_la_grippe_en_france_

jeudi 8 octobre 2009

Citrix dévoile XenDesktop 4

XenDesktop 4 promet d’être le champion de la virtualisation : technologie HDX, support de la virtualisation des applications, intégration dans Microsoft System Center…

Citrix espère bien révolutionner le monde de la virtualisation avec XenDesktop 4 (disponible à compter du 16 novembre 2009 et bientôt accessible en version de test, en s’inscrivant ici). Cette solution tout-en-un supporte aussi bien la virtualisation du bureau que celle des applications ou des données (technologie FlexCast).

À cet effet, la compagnie intègre l’HDX, qui permet d’assurer un affichage déporté de haute qualité : support du multimédia, de la 3D et des supports de stockage locaux. Elle ajoute à ceci les fonctionnalités de XenApp, qui virtualise les applications, facilitant ainsi leur déploiement. Pour Mark Templeton, président et CEO de Citrix, « les gens ont aujourd’hui besoin de travailler d’une façon totalement nouvelle, propulsée par la connectivité d’Internet, l’explosion de nouveaux périphériques et les promesses sans limites du web. Et ils ont besoin de le faire sans être enchaînés à des postes de travail ordinaires, attachés à un bureau, un périphérique ou un réseau particulier. La virtualisation a le pouvoir de rendre tout cela possible. »

La gestion des postes de travail sera également possible au travers de Microsoft System Center. Un bon point pour les administrateurs systèmes, qui pourront gérer leurs machines physiques et virtuelles à partir d’un même outil. Diverses améliorations permettent de mieux supporter les plates-formes Windows et Windows Server. « 2010 sera une année cruciale pour la virtualisation de postes, inaugurant une ère nouvelle qui révolutionnera notre manière de travailler, de vivre et de nous distraire », conclut Mark Templeton.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/07/citrix_devoile_xendesktop_4

VMware Fusion 3 tourne en 64 bits et prend en charge Windows 7

Le nouvel outil de virtualisation sur Mac sera commercialisé le 27 octobre.
VMware Fusion adopte le mode 64 bits en natif et est optimisé pour Mac OS X Snow Leopard.
Fusion 3 pourra notamment faire tourner Windows 7

Avec VMware Fusion 3, VMware propose une version profondément revue de son logiciel de virtualisation de système d'exploitation (Linux, Windows) pour les Mac dotés d'un processeur Intel. On dénombre pas moins de cinquante nouveautés. Parmi les plus marquantes, la prise en charge en natif du mode 64 bits sous Mac OS X Leopard et Snow Leopard. Fusion 3 a d'ailleurs été optimisé pour le nouvel OS d'Apple et sera sans doute l'un des premiers à proposer le support pour Windows 7, y compris des interfaces Aero et Flip 3D.

Du point de vue du graphisme, Open GL 2.1, DirectX 9 et Shader Model 3.0 figurent au programme. Le logiciel permet également de transférer facilement tout le contenu d'un PC vers un Mac via le port Ethernet. WMware Fusion 3 est déjà proposé en précommande. Il sera disponible le 27 octobre pour 80 dollars et 40 dollars pour la mise à jour. (Eureka Presse)

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39708707,00.htm

mercredi 7 octobre 2009

Microsoft et l'INRIA reconduisent leur labo commun pour 4 ans

En présence de Valérie Pécresse, ministre, et de Steve Ballmer, les directeurs de l'INRIA et du labo de Microsoft à Cambridge (R.U.) ont renouvelé leur programme de collaboration

Ce 6 octobre au nouveau siège de Microsoft à Issy-les-Moulineaux, Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et Steve Ballmer, CEO de Microsoft Corp, ont assisté à la signature du renouvellement de l'accord de coopération entre l'INRIA (Institut National de Recherche en Informatique et Automatique) et le laboratoire de Cambridge (Royaume-Uni) de Microsoft Research.

Un premier accord avait été signé le 26 avril 2005 entre les deux entités, actuellement dirigées par Michel Cosnard et Andrew Herbert, respectivement (ils ont succédé à Gilles Kahn et Roger Needham, deux pionniers de la recherche, tous deux décédés). Il s'agit donc de reconduire le Centre de recherche commun situé à Orsay (91) pour une période de 4 ans.

L'INRIA et Microsoft élargissent leur accord à de nouvelles études. Ce labo commun intervient dans deux domaines principaux:
- la sécurité et la fiabilité du logiciel,
- les interactions entre l'informatique et les autres sciences.

Jean-Jacques Levy (INRIA), directeur de ce centre commun, nous a résumé les travaux qu'ils encadrent. Trois programmes études ont été mis en place au cours des trois années de fonctionnement écoulées: la vérification de programmes logiciels, la certification de preuves mathématiques et la sécurité informatique. Quatre autres nouveaux programmes s'y ajoutent désormais, orientés vers l'application de l'informatique aux autres sciences:
-la recherche d'outils pouvant service à plusieurs sciences (sur les calculs formels, les tables dynamiques: "Parvenir à constituer une sorte de Wikipédia des fonctions et tables mathématiques"); exemple: la formalisation de la classification des 'groupes finis';
- la réactivité: faire de la manipulation puis visualisation de données scientifiques ("Des travaux utiles aux sciences expérimentales");
- l'optimisation des grands espaces de données: par exemple, dans le jeu d'échecs ou le jeu de go, étudier toutes les combinatoires, et tenter de modéliser, ou probabiliser
- la visualisation par ordinateur du traitement d'images numérique, notamment images vidéo.
Trois exemples: la détection automatique de modifications sur des images satellites [ce qui, typiquement, se sous-traite en Inde, lorsqu'il s'agit de le faire manuellement, de visu ! NDLR].

Cela pourrait notamment servir à la détection de tsunamis; la détection d'objets dans des images (application en archéologie, par exemple, sur les ruine de Pompéi, pour évaluer, avec le temps, les effets de l'érosion); la classification automatique d'archives vidéo (à partir d'une visualisation par ordinateur), un programme développé en partenariat avec l'INA.

Peu d'informations [toujours, ce culte du secret s'agissant du financement de ces contrats de coopération ?!] sur ce labo commun INRIA-Microsoft ( www.msr-inria.fr ). Tout au plus, sait-on qu'il mobilise 20 chercheurs à plein temps, et qu'une cinquantaine d'autres gravitent autour et participent à ses travaux - parmi eux de jeunes chercheurs en doctorat. En revanche, un rapport a été publié en février 2009 détaille ses activités. On retiendra que le labo a notamment développé 7 logiciels originaux; il a suscité 3 thèses de doctorat (9 autres en cours pour 2009 et 2010) et deux exposés à l'Académie des Sciences de Paris. A lire également: Microsoft et l'INRIA font le point sur leurs recherches

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/07/microsoft_et_l_inria_reconduisent_leur_labo_commun_pour_4_ans

mardi 6 octobre 2009

IBM s'attaque à Google Apps avec LotusLive iNotes

IBM lance aujourd'hui une offre, payante mais économique, de messagerie en ligne en direction des entreprises

IBM annonce aujourd'hui LotusLive iNotes, une solution de messagerie en mode SAAS (Software as a service). LotusLive iNotes vise clairement à concurrencer Google Apps, et particulièrement la messagerie Gmail. IBM profite notamment de la multiplication des incidents du service de Google en mettant en avant la fiabilité de son offre.

Big Blue joue par ailleurs sur concurrence tarifaire. LotusLive iNotes sera proposé 36 dollars par an par utilisateur (3 dollars par mois) pour 1 Go de stockage. Google Apps est commercialisé 50 dollars par an par utilisateur (soit plus de 4 dollars par mois). Il restera à voir si Google adaptera ses tarifs en conséquence. Microsoft propose également un webmail professionnel mais à 10 et 12 dollars par mois. Outre la messagerie, LotusLive iNotes proposera également un gestionnaire de contacts ainsi qu'un calendrier qu'il sera possible de partager.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/10/05/ibm_s_attaque_a_google_apps_avec_lotuslive_inotes

McAfee ouvre sa sauvegarde en ligne

Aux États-Unis, McAfee vient d'ouvrir pour les particuliers et les petites entreprises son service de sauvegarde en ligne

Baptisé McAfee Online BackUp, il permet une sauvegarde automatisée de tout ou partie du disque dur (avec une sauvegarde incrémentielle après la première sauvegarde initiale) sur les serveurs de McAfee, sans limitation dans la taille de l'espace de stockage. Pour y accéder, l'utilisateur doit avoir un PC sous Windows (2000 avec le SP4, XP et Vista avec le SP1) et les navigateurs Internet Explorer, Chrome ou Firefox pour accéder aux données. Il doit également souscrire un abonnement de 59,99 dollars par an. Ce service devrait être ouvert aux utilisateurs européens avant la fin de l'année 2009, pour un tarif non encore communiqué.

Source : http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-mcafee-ouvre-sa-sauvegarde-en-ligne-2761.html

lundi 5 octobre 2009

Open World Forum : L'Inria crée un centre de recherches sur l'Open Source

Cecill est heureuse de vous présenter son petit frère, Cirill, né lui aussi au sein de l'Inria

Invité à s'exprimer par les organisateurs de l'Open World Forum (qui se tient les 1er et 2 octobre à Paris), Michel Cosnard, PDG de l'établissement public, a en effet annoncé la création d'un Centre d'innovation et de recherche en informatique sur le logiciel libre (Cirill). Dans un communiqué, l'Inria explique que le logiciel libre a un rôle de plus en plus important à jouer dans le développement de la société numérique, mais qu'il faut l'étudier sous tous ses aspects : "Le logiciel libre est un objet complexe qui recouvre plusieurs dimensions aux logiques éventuellement contradictoires : il peut ainsi être à la fois un vecteur de la diffusion scientifique et un objet de recherche, un vecteur du transfert technologique et un objet industriel."

En matière d'Open Source, l'Inria a déjà un long historique. Ses chercheurs ont publié plusieurs logiciels, et l'organisme lui-même a participé à la création du consortium ObjectWeb en 2002 (avec Bull et France Telecom), puis à l'élaboration d'une licence Open Source adaptée au droit français, Cecill (CEA, CNRS, Inria Logiciel Libre), en 2004.

Conçu comme un centre d'expérimentation ayant vocation à accueillir des partenaires de tous horizons, le Cirill sera piloté par Roberto Di Cosmo, professeur à l'université Paris VII, bien connu du milieu de l'Open Source pour avoir cofondé l'Aful et co-signé l'ouvrage "Le hold-up planétaire : la face cachée de Microsoft". Le centre ouvrira ses portes début 2010.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-open-world-forum-l-inria-cree-un-centre-de-recherches-sur-l-open-source-29218.html

vendredi 2 octobre 2009

Open World Forum : la communauté Open Source se voit comme acteur de la relance numérique

Est-il encore nécessaire de convaincre les décideurs informatiques que l'Open Source s'est largement diffusé et représente une alternative à la fois fiable et économique ?

Les organisateurs de la deuxième édition de l'Open World Forum (OWF) s'y sont en tout cas encore employé aujourd'hui, jeudi 1er octobre, en y ajoutant une dimension économico-sociétale : la façon dont les logiciels libres peuvent contribuer à la relance numérique.

Jean-Noël de Galzain, patron de Wallix et président de cet OWF 2009, définit ainsi ces deux jours de rencontre, à vocation internationale, comme "le Davos des logiciels libres et de l'innovation ouverte". La séance d'introduction, qui a réuni environ 300 personnes dans l'auditorium du complexe Eurosites à deux pas des Champs-Elysées, a vu défiler sur scène des figures très diverses : représentants de Paris et de la région Ile de France, analyste britannique, consultant américain, patrons d'industrie, représentants des pôles de compétitivité... Les visiteurs les plus sceptiques auront ainsi pu avoir une synthèse de l'évolution du marché de l'Open Source et de ses perspectives d'avenir.

Logiciels libres, composantes reconnues de l'informatique d'entreprise

Premier constat : les logiciels Open Source sont partout. Plus tard dans la journée, Sylvie Chauvin, présidente du cabinet d'études Markess International, a présenté à des DSI les résultats d'une enquête auprès de 160 interlocuteurs (moitié entreprises du secteur privé, moitié organisations du secteur public). Il en ressort que 92% déclarent utiliser déjà de l'Open Source, et 4% supplémentaires prévoient de le faire d'ici à 2011. "Les logiciels libres et Open Source sont devenus des composantes reconnues de l'informatique d'entreprise", a indiqué sur scène Matthew Aslett, analyste de 451 Group. Néanmoins, la bataille n'est pas gagnée pour autant, a-t-il ajouté. Il reste beaucoup de domaines où il faut rester vigilant et encourager une attitude volontariste, favorisant l'ouverture : les politiques publiques, l'interopérabilité des données dans le cloud, les brevets logiciels...

De même, le consultant Andrew Aitken, d'Olliance Group, a mis en garde les représentants des communautés Open Source contre les risques de fragmentation, quand chacun - organisme public, éditeur classique, association, etc. - établit sa propre forge. Cette multiplication des sources complique non seulement le travail des gens souhaitant utiliser du code Open Source, mais risque aussi de décourager les plus méritants de contribuer.

Le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel

Quoi qu'il en soit, à écouter les intervenants, le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel - à condition de bien démontrer la valeur apportée au métier par le fait d'être Open Source, "comme BonitaSoft a su le faire", a commenté Andrew Aitken - et de réaliser des économies, ou du moins d'optimiser son budget. Michael Timan, vice-président de Red Hat et président de l'OSI (Open Source Initiative), a enfourché ce cheval, rappelant qu'une étude a démontré que les logiciels Open Source comptent en moyenne moins d'un défaut pour 1 000 lignes de code, contre 20 à 30 défauts dans les logiciels propriétaires. Pour lui, le mode de création du logiciel Open Source permettrait, s'il était étendu, de réduire la gabegie des dépenses informatiques. "Sur 3 400 Md$ de dépenses annuelles dans les NTIC, 1 000 Md$ sont gâchés à cause d'une mauvaise qualité".

Témoignant dans la session Open CIO Summit, qui a réuni toute la journée des DSI pour des ateliers de réflexion sur les avantages et les risques liés à l'Open Source, Justin Ziegler, DSI de PriceMinister, a fait écho à ces propos. Il a raconté comment il a choisi le serveur d'applications Open Source JBoss, "belle alternative à WebLogic qui coûtait les yeux de la tête", ou mis en oeuvre des fonctions avancées ou des modules d'extension d'Apache (comme le cache de données ou la compression des pages Web) afin "d'éviter l'achat de serveurs spécialisés très coûteux".

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-open-world-forum-la-communaute-open-source-se-voit-comme-acteur-de-la-relance-numerique-29212.html

jeudi 1 octobre 2009

Sophos propose un outil de chiffrement gratuit

Sophos Free Encryption permettra de chiffrer facilement (et gratuitement) données et dossiers

Le spécialiste de la sécurité Sophos a récemment mis en ligne un outil de chiffrement gratuit, disponible pour Windows (de 2000 à 7, en passant par XP et Vista). Sophos Free Encryption permettra de protéger des documents, ou des dossiers complets, avec un minimum de manipulations.

Certaines fonctions sont bien senties : chiffrement en AES 256 bits, intégration dans le menu contextuel de l’explorateur de fichiers, envoi direct du document par email, stockage des mots de passe dans un dossier sécurisé, compression des données, suppression sécurisée de fichiers, etc. Les développeurs pourront même utiliser cette solution dans leurs logiciels. Cet outil peut aussi créer des archives auto-extractibles. Le destinataire d’un message n’aura donc pas à installer Sophos Free Encryption pour extraire les documents. Certes, d’autres logiciels gratuits sont capables de réaliser cette tâche (par exemple l’excellent outil de création d’archives 7-Zip), mais la réputation de la compagnie dans le domaine de la sécurité pourrait rapidement convaincre les entreprises.

L’offre commerciale SafeGuard PrivateCrypto est relativement proche de cette solution. Elle permettra toutefois de récupérer les documents chiffrés en AES 128 bits sur les plates-formes mobiles Symbian et Windows Mobile. SafeGuard Enterprise va encore plus loin, en chiffrant les données des disques, en centralisant la gestion des clés et en assurant le partage des documents protégés auprès des groupes de travail.

Source : http://www.silicon.fr/fr/news/2009/09/30/sophos_propose_un_outil_de_chiffrement_gratuit